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Première réaction de l’Algérie sur l’affaire Sansal

Après environ dix jours de déclarations officielles et politiques provenant de l’autre rive de la Méditerranée, dénonçant l’arrestation de l’écrivain francoalgérien Boualem Sansal, le président de l’Assemblée populaire nationale, Ibrahim Boughali, a réagi en qualifiant l’affaire de “tentative du Parlement européen et de certains cercles politiques et médiatiques français d’ingérence dans les affaires internes de l’Algérie”, décrivant cela comme une “pratique flagrante”.
Boughali s’est, indirectement, exprimé lors d’une réunion du bureau de l’Assemblée sur l’arrestation de l’écrivain Sansal, son interrogatoire, et les campagnes hostiles qui ont suivi, orchestrées par l’extrême droite française.
Dans ce cadre, Boughali, troisième homme de l’État, a salué “le rôle de la justice algérienne qui veille à protéger les droits et les libertés”, affirmant que “la loi sera appliquée sur quiconque qui osera porter atteinte à la sécurité et à la stabilité de l’Algérie”.
Il a également estimé que l’implication du Parlement européen et de certains cercles politiques et médiatiques français dans cette tentative d’ingérence n’est qu’une “manœuvre flagrante visant à détourner l’attention des véritables violations des droits de l’Homme et du droit international”.
Boughali a enfin mis en doute la crédibilité de ces voix en termes de séparation des pouvoirs ou d’indépendance de la justice.

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