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Attaf évoque le cessezlefeu à Gaza

Le ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de la diaspora et des Affaires africaines, Ahmed Attaf, a déclaré que « la réunion ministérielle du Conseil de sécurité sur la question palestinienne intervient après l’accord international sur Gaza ».

Dans une interview diffusée sur la chaîne de télévision algérienne internationale et publiée sur son compte Facebook, ce lundi matin, Attaf a ajouté que « cet accord tant attendu a été recherché par l’Algérie depuis son adhésion au Conseil de sécurité en tant que membre non permanent, afin de donner la priorité à la question palestinienne, de mettre fin aux hostilités et de soulager Gaza ». Il a précisé qu’en tant que président du Conseil de sécurité ce moisci, l’Algérie se devait de suivre cet accord, qui repose sur trois phases : la première a commencé aujourd’hui et consiste en un cessezlefeu, le début de l’aide humanitaire à Gaza et le retrait des forces d’occupation des zones résidentielles.

La deuxième phase de l’accord « concernera l’élargissement des échanges de prisonniers, entamés lors de la première phase, et le renforcement de l’aide humanitaire à Gaza ». La troisième phase sera celle des préparatifs politiques, administratifs et sécuritaires pour Gaza, dans ce qu’on appelle les « dispositions pour le lendemain ». Attaf a souligné que le Conseil de sécurité « veillera à suivre la mise en œuvre et l’évaluation de l’accord par étapes, ainsi qu’à intervenir pour lever les obstacles ou dysfonctionnements qui pourraient apparaître lors de son application ».

Concernant la position de l’Algérie sur cet accord, Attaf l’a qualifié de « l’espoir prudent » et de « optimisme vigilant », car il est « très précis et doit bénéficier de l’accompagnement de la communauté internationale ». Il a ajouté que « ce que nous attendons, en tant qu’Algériens, du Conseil de sécurité, c’est son adoption, sa validation, sa consolidation et l’élargissement de son soutien international ».

Il a aussi souligné que bien que cet accord soit le résultat du travail d’un groupe restreint d’acteurs internationaux, « la communauté internationale doit se rallier à lui pour lui donner l’ampleur et l’impact véritables qu’il mérite ».

Le ministre des Affaires étrangères a également considéré que cet accord constitue « un pas dans un cadre plus large et global, celui de la recherche d’une solution finale et durable à la question palestinienne, et cela ne peut se réaliser que conformément à la légitimité internationale, dont le fondement principal est la solution à deux États ».

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