Victoire pour le voisin, l’Algérie en retrait! 🇩🇿🔚
La bataille des cœurs et des terrains continue d’agiter le monde du football africain. Après avoir fait trembler le sol algérien avec sa récente décision qui sanctionne l’USMA en Coupe de la CAF, le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) se tourne à nouveau vers une situation délicate impliquant un pays voisin, là où l’ombre des sanctions plane sur l’équipe nationale tunisienne. Avec des enjeux majeurs à l’horizon, la CAN 2025 se dessine comme un point crucial dans ce feuilleton haletant. L’Algérie, quant à elle, semble être reléguée à l’arrièreplan, alors que les tensions montent et que l’avenir sportif se dessine dans un contexte trouble.
La Coupe d’Afrique des Nations (CAN) à l’horizon 2025 au Maroc pourrait connaître un rebondissement inattendu. Le Tribunal Arbitral du Sport (TAS), dans un récent développement, a décidé d’intervenir dans le différend financier entre la Fédération Tunisienne de Football et l’ancien entraîneur Mehdi Nafti. Cette situation met en lumière des enjeux cruciaux qui pourraient pénaliser non seulement la Tunisie, mais aussi faire éclipses les efforts de l’Algérie dans le monde du football africain.
Un conflit historique avec des implications financières
Ce différend entre la Tunisie et Mehdi Nafti n’est pas d’hier. Tout commence avec des salaires impayés par la FTF à l’entraîneur, qui a dirigé l’équipe nationale tunisienne pendant une période critique. Désormais entraîneur du club qatari Al Khor, Nafti réclame la somme colossale d’environ un milliard de dinars tunisiens, représentant deux années de salaires qui restent dans les limbes. L’absence de réponse de la FTF à cette situation est à la fois inquiétante et révélatrice d’une gestion contestable.
Le TAS donne le ton : avertissement clair pour la Tunisie
La récente intervention du TAS pourrait avoir des conséquences catastrophiques pour l’équipe nationale tunisienne. Le tribunal a clairement demandé à la FTF de s’acquitter de ses obligations financières, sinon la possibilité d’exclusion de la CAN 2025 deviendrait une réalité. Le sport, audelà du simple jeu, est aussi une question de gestion et de respect des engagements. Ce type de situation offre le reflet d’une crise bien plus vaste au sein des instances dirigeantes du football tunisien.
L’Algérie dans l’ombre : un spectre de sanctions plane
Alors que la Tunisie fait face à cette tempête financière, l’Algérie, de son côté, éprouve déjà les effets de sanctions prononcées par le TAS l’année dernière, notamment en raison d’un conflit l’opposant à la Fédération Marocaine et une affaire liée à l’USM Alger. Malheureusement, il semblerait que la sélection algérienne soit reléguée à l’arrièreplan dans cette histoire, malgré l’impact de ces décisions sur sa participation future aux compétitions. Le contexte de rivalité sportive dans la région continue de s’accentuer.
Un avenir incertain pour la CAN 2025
Le panorama de la CAN 2025 se dessine donc avec des incertitudes grandissantes. Alors que des pays comme la Tunisie doivent jongler avec leurs problèmes internes, l’Algérie pourrait se voir influencer par des décisions extérieures, alimentant ainsi un climat d’inquiétude et de tension. La composition des équipes et la qualité des compétitions dépendent non seulement de la performance sur le terrain, mais aussi de la capacité à éviter des conflits hors du jeu.
Les supporters, joueurs et entraîneurs suivent avec attention cette évolution. Les enjeux dépassent de loin le simple cadre sportif et évoquent aussi des questions d’identité et de fierté nationale. Les prochaines semaines s’annoncent décisives pour ces deux nations et pour la dynamique que pourra adopter la CAN 2025.
المصدر: الجزائر الآن